Nos conseils

De plus en plus populaire, ce que l’on appelle la mobilité douce est devenue une solution de transport très utilisée par les Français, vélo, trottinette, skate, gyropode… Le chiffre d’affaires de ce secteur a atteint 3,4 milliards d’euros en 2021, soit 43% de plus qu’en 2019.

Pour rendre l’usage du vélo crédible et confortable pour tous, la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB) estime que des conditions adéquates sont nécessaires pour garantir la sécurité des cyclistes et atteindre la neutralité carbone en 2050, comme le soulignent les acteurs majeurs de l’énergie et du climat. Le gouvernement annonce un investissement historique de 1,45 milliards d’euros pour financer les projets liés au vélo et répondre aux attentes des acteurs du vélo et créer un véritable “Plan Marshall”.

Même si ces moyens de se déplacer sont respectueux de l’environnement et donc considérés comme durables, ils ne limitent pas les risques auxquels les usagers peuvent être confrontés sur la route. Il est donc important d’envisager l’utilisation des EPI pour assurer sa sécurité.

La mobilité douce : le contexte

 

Qu’est ce que la mobilité douce ?

Les mots doux. L’expression “mobilité douce”, apparue au milieu des années 2000 en réponse aux préoccupations environnementales croissantes, notamment liées au changement climatique, a donné une nouvelle dimension à la manière dont nous nous déplaçons. Alors que le terme “circulation” utilisé depuis les années 80 se concentrait principalement sur les routes et les véhicules automobiles, le concept de “mobilité” a été introduit pour englober toutes les formes de déplacement.

Ce terme, qui est devenu un sujet d’actualité majeur ces dernières années, représente les modes de déplacements quotidiens qui, d’une part, sont non motorisés et, d’autre part, ont un faible impact sur l’environnement.

 

Les solutions de mobilité douce peuvent être

  • Le vélo
  • La marche
  • La trottinette électrique
  • Le skate
  • Les rollers
  • Gyropodes
  • Autres….

Il s’agit donc d’utiliser des méthodes de transports plus durables et moins polluantes.

 

 

La mobilité douce : une approche respectueuse de l’environnement

Les modes de transport traditionnels émettent une quantité significative de polluants atmosphériques tels que les particules fines et les oxydes d’azote, qui ont un impact néfaste sur la qualité de l’air et la santé des individus. 

La mobilité douce, et donc l’utilisation de véhicules non motorisés, est bénéfique pour l’environnement et notre santé. En effet, la limitation de l’usage de véhicules motorisés engendre une réduction de l’impact environnemental. Cela s’inscrit dans une approche durable qui privilégie les déplacements moins polluants et plus écologiques.

 

5 principaux avantages de la mobilité douce sur l’environnement : 

  • Réduction des émissions de gaz à effet de serre
  • Diminution de la pollution de l’air
  • Diminution de la congestion routière
  • Préservation des ressources naturelles
  • Lutte contre le changement climatique

Afin de proposer un environnement urbain plus en phase avec ces méthodes de déplacement, de nombreuses villes du monde entier se mobilisent pour adapter les infrastructures notamment les pistes cyclables. 

En parallèle, d’autres bénéfices peuvent être recensés. En effet, la mobilité douce favorise la pratique de sports et donc un mode de vie sain mais également une cohésion sociale avec des espaces plus sûrs pour les piétons et les cyclistes.

DIEZZ SPORT s’engage fermement à réduire les taux d’émissions de CO2 générées par le transport de marchandises. Nous sommes conscients de l’importance de développer une marque ayant de réelles valeurs ajoutées en matière de développement durable. Nous nous efforçons ainsi d’adopter des pratiques responsables et respectueuses de l’environnement, tout en offrant des produits de qualité. Notre objectif est de faire partie intégrante de la transition vers un avenir plus durable et de soutenir nos clients dans leurs efforts écologiques.

Ensemble, faisons de petits gestes qui auront un impact positif sur notre planète.

 

Les risques les plus courants pour les usagers

Bien que la mobilité douce soit une méthode présentant de nombreux avantages pour l’usager et l’environnement, les risques associés à la pratique et à l’exposition à la route n’en sont pas moins dangereux.

L’année dernière, la mortalité des cyclistes a augmenté de 30%, avec un total de 244 décès (57 décès de plus par rapport à 2019, l’année précédant la pandémie). On observe également une augmentation des blessures graves parmi les cyclistes, avec 2 600 blessés graves (une augmentation de 13% soit 300 de plus). Selon la Sécurité routière, la pratique du vélo en milieu rural/hors agglomération enregistre une hausse préoccupante de 47% de la mortalité et de 22% du nombre de blessés graves par rapport à 2019.

Quant aux utilisateurs d’Engins de Déplacement Personnel Motorisés (EDPM), ils ont connu une forte augmentation des accidents. En 2022, 34 “trottinettistes” ont perdu la vie, contre 10 en 2019, et la gravité de leurs blessures est également en nette hausse, avec environ 600 blessés graves estimés en 2022, soit 400 de plus qu’en 2019.

Lors de la pratique du vélo, du skate, du roller, du gyropode, de la trottinette…les dangers sur la route sont présents à chaque instant. Les chutes liées aux accidents causés par un tiers (voiture, moto, camion, autres usagers…), aux accidents causés par des obstacles (surface inégale, débris, gravier…) ou encore à une mauvaise météo (pluie, vent, verglas…) sont fréquents. 

Au-delà des petites blessures sans gravité, il n’est pas rare que les usagers présentent un risque plus important comme une commotion cérébrale par exemple. Les commotions cérébrales sont des perturbations temporaires des fonctions neurologiques causées par des forces externes appliquées à la tête, au visage ou au cou. Les commotions cérébrales liées à la pratique sportive (SRC) sont de plus en plus fréquemment suspectées et diagnostiquées. Elles représentent entre 1,3% et 9,1% de toutes les blessures liées au cyclisme. Cependant, leur diagnostic reste complexe et de nombreuses commotions cérébrales potentielles non signalées peuvent fausser les statistiques et rendre difficile une estimation précise de la prévalence de ces lésions cérébrales fonctionnelles. Les études réalisées sur les effets des commotions cérébrales répétées ont principalement mis en évidence des troubles neurocognitifs, en particulier des problèmes de mémoire et de vitesse de traitement de l’information, ainsi que la survenue d’encéphalopathies traumatiques chroniques (ETC) et une altération de la qualité de vie. Le nombre de commotions cérébrales subies et l’intervalle de temps entre les accidents aggravent la gravité des commotions cérébrales ultérieures et augmentent le risque de séquelles neurologiques

Il est donc très important d’adopter des mesures de sécurité adéquates. Cela se traduit par utiliser des équipements de protection individuelle et notamment protéger sa tête pour éviter les blessures graves lors d’une éventuelle chute.

casque visière photochromique mobilité douce

Les EPI (Equipements de protection individuelle) : utiliser la mobilité douce en toute sécurité

 

Définition des EPI

Avec l’apparition de la pandémie de COVID-19, les équipements de protection individuelle (EPI) sont devenus rapidement familiers au grand public. Que ce soit les gants, les masques ou les visières, les EPI sont désormais essentiels pour se protéger contre les chutes. Cependant, il est important de souligner que l’utilisation des EPI ne date pas d’aujourd’hui et a évolué au fil du temps. Cela offre l’opportunité de retracer l’histoire des EPI à travers différentes époques.

L’origine des premiers équipements de protection individuelle remonte à l’Antiquité, où les soldats étaient équipés de casques, de masques et de gilets protecteurs pour affronter leurs adversaires. L’histoire des EPI est étroitement liée à l’histoire militaire, et l’on peut retrouver les premières traces d’armures plusieurs siècles avant notre ère. Déjà au VIIe siècle av. J.-C., les hoplites grecs portaient des cuirasses par-dessus leurs tuniques pour protéger leur torse. Du côté de l’Empire romain, la réforme marianique de 107 av. J.-C. a permis de standardiser et d’améliorer l’équipement utilisé dans l’armée romaine. En Asie, dès le 4e siècle, les soldats et cavaliers japonais attachaient des plaques de fer, maintenues par du cuir, sur leur torse pendant les combats afin de prévenir les blessures. Ainsi, l’histoire des EPI trouve ses racines dans des périodes anciennes et témoigne de l’importance accordée à la protection individuelle au fil du temps.

Dans le secteur du sport, les équipements de protection individuelle représentent les vêtements ou dispositifs utilisés pour se protéger des risques liés à la pratique du sport concerné. Ils permettent de protéger les parties du corps exposées à des risques de blessures potentielles et assurer la sécurité de l’usager.

En fonction des sports pratiqués, les risques peuvent être différents et donc divers équipements de protection individuelle sont possibles. Les équipements les plus courants commercialisés pour la pratique d’un grand nombre de sports outdoor sont les casques de protection, les protections pour les membres inférieurs et les protections pour les membres supérieurs.

 

Les équipements de protection individuelle (EPI) en mobilité douce

Au vu des risques de blessures possibles lorsque l’on pratique la mobilité douce, certains EPI sont vivement recommandés.

Parmi eux, le casque de protection reste l’équipement crucial pour protéger la tête et donc les blessures importantes en cas de chute ou de collision. C’est l’accessoire indispensable à envisager lorsque l’on pratique le vélo, la trottinette, le gyropode ou tout autre activité de mobilité douce.

Parmi les autres équipements possibles, on peut citer les protections genou ou protections poignets qui peuvent être également des indispensables pour se protéger.

Il est important de noter que les EPI doivent être de bonne qualité et ajustés à votre taille pour garantir une protection efficace. 

Les protections Diezz Sport : assurez votre sécurité sur la route

 

Les casques de vélo personnalisables

Pratiquer les déplacements urbains ne vous épargne donc pas des dangers présents sur la route. Cependant, pour assurer la sécurité et prévenir les blessures en cas d’accidents ou de chutes lors de la pratique du cyclisme, du skate, du gyropode ou de la trottinette, il est important de se protéger. C’est pourquoi, DIEZZ Sport, spécialiste des casques à visière photochromiques a imaginé des casques à vélo avec ou sans visière spécialement adaptés à ces activités.

Les casques à visière photochromiques 0-2 offrent une protection complète en s’adaptant automatiquement à la luminosité ambiante. Ils sont équipés d’une visière qui protège les yeux contre les rayons du soleil, la poussière, les insectes et autres éléments susceptibles de causer des dommages. En optant pour le port d’un casque adapté, les utilisateurs peuvent réduire les risques de blessures à la tête en cas d’accident ou de chute.

  • Catégorie 0 : 80 % – 100 % de taux de transmission / vision nocturne ou mauvais temps
  • Catégorie 1 : 43 % – 79 % de taux de transmission / lumière faible
  • Catégorie 2 : 18 % – 42 % de taux de transmission / lumière moyenne

Idéalement conçus pour protéger la tête grâce à une technologie conjuguant sécurité, confort et design, ils ont l’avantage d’être personnalisables. Diezz vous propose donc d’assurer votre sécurité tout en privilégiant l’esthétisme et l’expression de votre style grâce à ses casques de vélo conçus en France et adaptés à toutes vos aventures en mobilité douce.

Faites le choix de la sécurité tout en misant sur un style unique !

 

Les casques à vélo pour mobilité douce

 

Les visières photochromiques et polarisées

 

Votre casque de vélo Diezz peut être personnalisé au niveau de la visière. Nous vous proposons une gamme de visières uniques pour des casques de vélo stylés.

Les avantages de nos visières

  • Elles sont photochromiques : elles s’adaptent aux conditions météorologiques pour une vision optimale
  • Les coloris sont ultra-tendance : gold, rose, silver…
  • Elles garantissent un maximum de confort : joint d’étanchéité, protection nasale, intérieur confortable…

Les visières de protection pour mobilité douce 

DIEZZ SPORT s’engage à réduire les émissions de gaz à effet de serre et accorde une importance primordiale à la sécurité de tous lors de vos déplacements en mobilité douce. Dans cet esprit, nous vous recommandons vivement de remplacer votre casque en cas de chute, et de renouveler votre équipement tous les 5 ans afin de garantir une sécurité optimale. Notre objectif est de concilier à la fois sécurité et style, pour que vous puissiez vous déplacer en toute confiance et avec une allure remarquable.

Avec DIEZZ SPORT : Move With Style